Vrai portrait de Marguerite Bourgeoys
par Martel, Stéphan
Le portrait post mortem de Marguerite Bourgeoys est la seule représentation contemporaine de cette femme qui a joué un rôle remarquable dans l'histoire de Montréal au XVIIe siècle. Peint en 1700 par Pierre Le Ber, l'œuvre est conservée depuis ce temps par la Congrégation de Notre-Dame et est actuellement exposée au Musée Marguerite-Bourgeoys. Ce portrait a cependant connu de nombreuses retouches entre le XIXe siècle et le début du XXe siècle, à tel point que son aspect s'est transformé complètement. Sa restauration, en 1963-1964, a permis de redécouvrir à la fois le vrai visage de Marguerite Bourgeoys et l'œuvre authentique de l'un des premiers peintres canadiens.
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L'œuvre originale de l'artiste Pierre Le Ber
Le portrait en post mortem immédiat (NOTE 1) de Marguerite Bourgeoys a été peint en janvier 1700, immédiatement après son décès, par l'artiste canadien Pierre Le Ber. Il s'agit d'une huile sur toile mesurant 49,5 cm par 62,3 cm. Il montre le portrait d'une femme âgée présentée en buste sur un fond brunâtre, les yeux mi-clos, les mains jointes en prière. L'œuvre se caractérise par un style primitif, simple, un peu rigide. Depuis 1998, ce tableau qui est sans conteste une œuvre majeure du patrimoine artistique et religieux de l'Amérique française est exposé au Musée Marguerite-Bourgeoys à Montréal.
Issu d'une famille aisée, Pierre Le Ber était le fils du marchand montréalais Jacques Le Ber et de Jeanne Le Moyne. Il avait pour sœur la célèbre recluse Jeanne Le Ber. Il est né à Ville-Marie (Montréal) au mois d'août 1669 et est mort le 1er octobre 1707, à l'âge de trente-huit ans. Nous ne savons rien de sa formation artistique. Contrairement à son père, il démontrait peu d'intérêt pour les affaires (NOTE 2) et consacra la majeure partie de son temps à sa passion, la peinture. Très généreux auprès des différentes communautés religieuses montréalaises, Le Ber participa à la mise sur pied de l'Hôpital-Général de Montréal dirigé par les Frères Charon et à l'organisation d'ateliers d'artisanat au sein de la même institution (NOTE 3). En 1697, il fit ériger à ses frais une petite chapelle à la Pointe-Saint-Charles, qu'il décora lui-même. L'inventaire après décès de Le Ber et les rares tableaux qu'on lui attribue indiquent que l'artiste peignait surtout, sinon exclusivement, des tableaux à caractère religieux et des portraits.
Les circonstances de production du portrait
Pour les sœurs de la Congrégation de Notre-Dame, l'année 1700 commençait sous le signe du deuil alors qu'au matin du 12 janvier, Marguerite Bourgeoys, leur fondatrice, expirait des suites d'une courte mais très souffrante maladie. Le jour même, Marguerite Le Moyne, supérieure de la Congrégation, fit appel à son cousin Pierre Le Ber pour peindre le portrait de la défunte. Cet événement nous est connu grâce à une anecdote caractéristique de la littérature hagiographique de l'époque :
« Monsieur LeBer, le fils, ayant été prié de tirer le portrait de notre chère Mère, un peu après qu'elle fût morte, il vint chez nous à cet effet, après avoir communié pour elle à notre chapelle; mais il se trouva si incommodé d'un mal de tête qui lui prit, qu'il lui fut impossible de l'entreprendre. Une de nos Sœurs lui donna un peu de cheveux de notre Mère défunte, qu'il mit sous sa perruque, et en même temps, il se sentit si soulagé qu'il se mit à l'œuvre avec une facilité que lui et ceux qui le regardaient ne purent s'empêcher d'admirer » (NOTE 4).
Le peintre dut travailler avec diligence pour tirer une ébauche de son modèle car le corps ne fut exposé qu'une journée dans la chapelle de la Congrégation. La dépouille fut transportée le lendemain (13 janvier) à l'église Notre-Dame pour les funérailles (NOTE 5). Entre-temps, les sœurs de la Congrégation firent embaumer le cœur de leur fondatrice pour l'exposer à la vue des fidèles dans la chapelle de leur communauté pour une période d'un mois. Le 12 février 1700, le cœur, enchâssé dans une boîte en plomb, fut « mis au-dedans de la muraille du chœur » (NOTE 6). C'est à ce moment que le portrait peint par Le Ber fut suspendu au-dessus de cette niche.
Il nous est difficile de suivre par la suite l'histoire du tableau, les sources historiques s'avèrent plutôt laconiques. Retiré de la chapelle un peu avant 1728, le portrait aurait retrouvé sa place d'origine vers 1757 (NOTE 7). Il fut sauvé des flammes qui consumèrent la chapelle des sœurs en 1768, puis fixé dans la nouvelle chapelle l'année suivante. À la fin de la décennie 1860, Mgr Bourget, deuxième évêque de Montréal, exigea qu'il soit définitivement retiré de son emplacement (NOTE 8). Par la suite, il a sans doute été conservé dans un local de la maison mère. L'objet survécut à un nouvel incendie qui détruisit la cinquième maison mère de la Congrégation en 1893. On en retrouve ensuite trace en 1908 alors qu'il fut accroché dans la salle du Conseil général de la communauté, à la nouvelle maison mère. Le portrait s'y trouvait encore une cinquantaine d'années plus tard, au moment où quelques sœurs remirent sérieusement en question l'authenticité du portrait de leur fondatrice.
Les premiers doutes sur l'authenticité du tableau
En 1961, plusieurs membres de la communauté savaient déjà que le tableau avait subi des retouches au gré du temps; d'ailleurs, les plus anciennes d'entre elles avaient été les témoins de quelques retouches mineures au début du XXe siècle. Mais d'autres sœurs remettaient franchement en doute son authenticité. Les sœurs firent donc expertiser le tableau par un spécialiste en art canadien ancien, Jean Palardy, pour en avoir le cœur net. Son examen ne fit que renforcer les soupçons émis par certaines sœurs : « Ces traits [de Marguerite Bourgeoys] adoucis au possible ne sont pas du 17e siècle, déclara-t-il; je serais curieux de voir ce qu'on trouverait sur le fond de cette toile » (NOTE 9).
La perspective de retrouver le visage original de leur fondatrice incita les autorités de la communauté à faire restaurer le tableau. Une telle intervention était cependant risquée car le travail passait par la destruction irrémédiable de ce qui était considéré alors comme l'unique portrait contemporain de leur fondatrice. Par précaution, les sœurs photographièrent le tableau puis firent appel à l'artiste Jori Smith Palardy qui en peignit une copie exacte (NOTE 10).
La restauration du tableau : une intervention risquée
C'est au cours de l'été 1963 que les premières démarches pour la restauration furent finalement entreprises. La supérieure générale de la Congrégation nomma Sœur Mary Eileen Scott responsable du projet. Cette dernière fit appel aux services de M. Edward O. Korany, un spécialiste new-yorkais de l'International Institute for Conservation, qui lui avait été fortement recommandé. Les détails des travaux de restauration nous sont aujourd'hui connus grâce à la correspondance que ce dernier entretint avec Sœur Scott.
Dans le cadre de ses analyses, M. Korany soumit le tableau à des examens radiologiques. Les résultats révélèrent la présence d'un portrait primitif sous trois couches de blanc de plomb (NOTE 11) et divers surpeints. L'imperméabilité naturelle du blanc de plomb aux rayons-X empêchait de distinguer l'état de conservation de l'œuvre originale. Néanmoins, les clichés laissent entrevoir un visage, une coiffe et des mains entièrement différents du portrait visible. Consciente des risques, mais convaincue de l'importance historique et patrimoniale qu'impliquait une restauration, la supérieure générale de la Congrégation de Notre-Dame accepta de faire dégager le portrait primitif.
Le dégagement de l'œuvre dissimulée débuta au mois de septembre 1963. Après deux mois d'un lent et fastidieux travail (NOTE 12), M. Korany réussit à mettre entièrement au jour l'œuvre originale qui se révéla finalement à peu près intacte. Seul le fond du tableau apparaissait en très mauvais état et dut être sensiblement retouché. Le portrait, fixé autrefois sur un carton enduit de colle, lui-même maintenu sur un panneau d'aggloméré, fut entoilé dans un cadre ancien de style colonial américain. La restauration se termina vers la fin du mois de mars 1964.
L'analyse des différentes couches de repeint effectuée par Korany nous informe que le portrait a connu essentiellement deux restaurations majeures au XIXe siècle, qui ont altéré radicalement l'œuvre primitive. La première intervention, survenue dans la première moitié du XIXe siècle, modifia la physionomie du visage et des mains de Marguerite Bourgeoys. Le second repeint d'importance se fit dans la deuxième moitié du XIXe siècle : cette fois-ci, l'artiste retoucha le visage et peignit une nouvelle coiffe.
Un objet à la fois cultuel et culturel
La pratique du portrait en post mortem immédiat est très ancienne puisqu'elle remonterait, dans l'Europe médiévale, à la fin du XIVe siècle (NOTE 13). Cette pratique se généralise d'abord dans les royaumes nordiques au XVIe siècle (Suède, Norvège, etc.) et elle se diffuse en France dans le premier quart du XVIIe siècle. On la retrouve enfin en Nouvelle-France, avec l'implantation des différentes communautés religieuses.
La commande de ce tableau à Pierre Le Ber comblait pour les sœurs un besoin émotif, celui de garder un souvenir tangible de leur fondatrice, d'où l'importance pour l'artiste de saisir le plus fidèlement possible les traits de la défunte. Mais ce portrait répondait également au désir, plutôt « pédagogique », d'illustrer la fondatrice comme un modèle d'exemplarité pour les autres sœurs. C'est pourquoi il méritait doublement d'être conservé dans la mémoire communautaire (NOTE 14). Encore aujourd'hui, ce tableau permet aux sœurs de conserver un attachement matériel et spirituel avec leur fondatrice et les origines de leur communauté.
L'œuvre de Pierre Le Ber semble avoir été présentée au public lors de deux expositions successivement organisées par la Société des Numismates et Antiquaires de Montréal : une première fois en 1887, alors que l'on célébrait le 25e anniversaire de la fondation de cette société, puis de nouveau en 1892, à l'occasion du 250e anniversaire de Montréal. C'est à ce moment que l'on commença à lui accorder une valeur historique, voire patrimoniale. En effet, le tableau constituait, pour les organisateurs de ces deux expositions, la trace tangible et authentique d'une femme dont le rôle dans l'histoire de Montréal (en tant que fondatrice de la première école de Ville-Marie, d'une chapelle de pèlerinage et d'une communauté de sœurs non cloîtrées vouées à l'éducation) fut déterminante.
En 1963-1964, la découverte du véritable portrait peint par Pierre Le Ber quelque 260 ans plus tôt sensibilisa davantage les sœurs de la Congrégation de Notre-Dame, et le public en général, à sa valeur culturelle et historique. Sa restauration a fait découvrir aux historiens l'authentique facture artistique de Pierre Le Ber, permettant du même coup l'attribution assez certaine au même artiste de quatre autres œuvres sur toile considérées jusqu'alors comme anonymes (NOTE 15).
Les résultats de la restauration attirèrent l'attention des médias (NOTE 16) et des spécialistes de l'histoire de l'art (NOTE 17). Plusieurs demandèrent à voir le portrait en personne, à le photographier, voire à l'emprunter en vue de l'exposer. L'œuvre restaurée fut même présentée au public au cours de l'Exposition universelle de Montréal en 1967, ainsi qu'au Musée des Beaux-Arts de Montréal la même année, puis à la Galerie nationale du Canada en 1974.
Une œuvre mise en valeur au Musée Marguerite-Bourgeoys
Le portrait de Marguerite Bourgeoys est une œuvre majeure du patrimoine de l'Amérique française. Peinte par l'un des premiers artistes canadiens, cette image a toujours été conservée précieusement par les Sœurs de la Congrégation de Notre-Dame, bien que cela ne les ait pas empêchées de le faire repeindre au cours du XIXe siècle afin de rendre le visage de leur fondatrice plus représentatif des nouvelles valeurs de leur siècle. Caché sous divers niveaux de repeints, le véritable visage de sœur Bourgeoys, oublié depuis plus d'un siècle, réapparaissait définitivement au grand jour en 1964, à une époque où l'on pouvait apprécier de nouveau l'œuvre sobre et spirituelle de Pierre Le Ber (NOTE 18).
Le public peut admirer depuis 1998 cette œuvre au Musée Marguerite-Bourgeoys puisqu'une salle a spécifiquement pour fonction de raconter son histoire surprenante. Présentant à la fois l'apparence d'un oratoire et d'un lieu d'exposition, la salle du Vrai portrait de Marguerite Bourgeoys permet de satisfaire autant les visiteurs en quête spirituelle (NOTE 19) que les curieux d'histoire.
Stéphan Martel
Historien, Gestionnaire du Centre de documentation et archives
Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours/Musée Marguerite-Bourgeoys
NOTES
1. Le portrait post mortem immédiat est une œuvre exécutée immédiatement après le décès, lors de l'exposition du défunt, avant sa mise en terre.
2. Nicole Cloutier, Pierre Le Ber, 1669-1707, M.A. (histoire), Université de Montréal, Montréal, 1973, p. 27.
3. Pierre Le Ber vécut à l'Hôpital-général à partir de 1694. Les Frères Charon lui laissaient l'usage de trois pièces qu'il utilisait comme atelier de peinture.
4. Charles de Glandelet, La vie de la sœur Marguerite Bourgeoys, Montréal, Congrégation de Notre-Dame, 1993 [1715], p. 148.
5. Le corps fut enseveli dans l'église Notre-Dame.
6. Charles de Glandelet, La vie de la sœur Marguerite Bourgeoys..., p. 146.
7. Ces indications proviennent d'inventaires de la Congrégation de Notre-Dame intitulés Livre des meubles et ustencilles. Voir Denis Martin, Portraits des héros de la Nouvelle-France. Images d'un culte historique, LaSalle, Hurtubise HMH, 1988, p. 60-61.
8. « Mgr Bourget nous fit ôter ce tableau qui ne pourra être dans une chapelle qu'après la béatification de Notre ‘Revde Mère' ». Journal de Mère Sainte-Ursule [entre 1874 et 1897], Archives de la Congrégation de Notre-Dame, 200.100-66, fo2. L'évêque de Montréal suivait en ce sens le droit canonique qui empêchait de rendre un culte à un individu qui n'était pas encore déclaré bienheureux ou saint.
9. Propos de M. Palardy recueillis par une sœur. Marie-Anne Gauthier-Landreville, Présentation du Vrai portrait de la Bienheureuse Marguerite Bourgeoys, [1964], Archives du Musée Marguerite-Bourgeoys, [sans cote], p. 2.
10. La copie fut terminée au mois de janvier 1962. Note de M. Jean Palardy relative à la reproduction du portrait de Marguerite Bourgeoys par Jori Smith Palardy (copie), 25 novembre 1961 - 23 janvier 1962, Archives du Musée Marguerite-Bourgeoys, [sans cote], 2 p.
11. Le blanc de plomb, appelé également céruse, est un pigment de grande qualité composé de carbonate de plomb (70%) et d'hydroxyde de plomb (30%). Fréquemment utilisé par les peintres d'autrefois, surtout en peinture à l'huile, ce pigment extrêmement dense et opaque était grandement apprécié pour son pouvoir couvrant. À ce sujet, voir Connaissance de la peinture. Courants, genres & mouvements picturaux, Paris, Larousse, 2001, p. 59-60; Okhra, Conservatoire des ocres et pigments appliqués, http://www.okhra.com/@fr/74027/article.asp (consulté le 30 octobre 2009).
12. M. Korany ne dégageait en moyenne que 6 cm2 par deux heures de travail.
13. Daoust, Jean-Luc, Le portrait en post mortem immédiat des religieuses au Québec : influences, analyse stylistique et fortune graphique, M.A. (Histoire de l'art), Université de Montréal, Montréal, 2007, p. 33.
14. Le souvenir que les sœurs de la Congrégation retenaient de leur fondatrice à la fin du XVIIe siècle, et qu'elles désiraient illustrer dans un portrait, c'était celui de la femme de « compassion » qu'était Marguerite Bourgeoys (c'est le mot employé avec justesse par M. Korany pour décrire ce qu'il avait ressenti en découvrant le visage de Marguerite Bourgeoys). Au cours des décennies suivant le décès de Marguerite Bourgeoys, cet idéal de sainteté changea peu à peu et l'œuvre un peu gauche de Le Ber en vint à ne plus correspondre à l'image que se faisaient les sœurs au XIXe siècle de leur fondatrice. Ceci explique pourquoi elles ont fait repeindre le tableau. Ce n'était pas tant les valeurs matérielle ou artistique de l'objet qui comptaient pour elles, mais sa valeur spirituelle.
15. Cloutier, Nicole, « Pierre Le Ber », dans François-Marc Gagnon et Nicole Cloutier (dir.), Premiers peintres de la Nouvelle-France, tome 1, Québec, Ministère des Affaires culturelles, 1982, p. 142. Les quatre tableaux sont un Sainte Thérèse d'Avila et un Alphonse Rodriguez, conservés à la Maison-Mère des Sœurs Grises de Montréal, un Saint Charles Borromée, conservé à la Maison Saint-Gabriel, et enfin un Mgr de Saint-Vallier, conservé par les Prêtres de Saint-Sulpice de Montréal.
16. Les journaux Le Devoir, le Montréal Matin, le Montreal Star et The Gazette publièrent respectivement un article sur les circonstances de la restauration les 13 juin, 24 juin et 4 août 1964.
17. Des directeurs et conservateurs de musées d'art, comme le Musée des Beaux-Arts de Montréal, The Vancouver Art Gallery, la Galerie Nationale du Canada (Ottawa) et le Musée de peintures canadiennes à Saint-Jean (N.B.), s'intéressèrent vivement au portrait de Marguerite Bourgeoys. Aussi, quelques maisons d'éditions comme la McLelland & Stewart Ltd et la University of Toronto Press, contactèrent la Congrégation de Notre-Dame dans le but de reproduire dans leur publication le portrait nouvellement restauré.
18. Simpson, Patricia, Marguerite Bourgeoys et la Congrégation de Notre-Dame, 1665-1700, Montréal, McGill-Queen's University Press, 2007, p.237.
19. Nous rappelons que Marguerite Bourgeoys a été déclarée sainte par le pape Jean-Paul II en 1982.
Bibliographie
Cloutier, Nicole, Pierre Le Ber, 1669-1707, M.A. (histoire), Université de Montréal, Montréal, 1973, 199 p.
Daoust, Jean-Luc, Le portrait en post mortem immédiat des religieuses au Québec : influences, analyse stylistique et fortune graphique, M.A. (Histoire de l'art), Université de Montréal, Montréal, 2007, 2 vol.
Glandelet, Charles de, La vie de la sœur Marguerite Bourgeoys, Montréal, Congrégation de Notre-Dame, 1993 [1715], 168 p.
Karch, Pierre, Les ateliers du pouvoir, Montréal, XYZ éditeur, 1995, p.51-56.
Martin, Denis, Portraits des héros de la Nouvelle-France. Images d'un culte historique, LaSalle, Hurtubise HMH, 1988, p.59-61.
Simpson, Patricia, Marguerite Bourgeoys et la Congrégation de Notre-Dame, 1665-1700, Montréal, McGill-Queen's University Press, 2007, 303 p.
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